Presse

Extraits de presse

 

Ces dragées sont légères à l’estomac, sans prétention, sympathiques. Un peu de branquignolades qui sont filles d’Helzapoppin, des scènes de cabaret, des blagues de copains, des farces improvisées.

Le Canard enchaîné

Les deux douzaines d’étoiles indéniables qui ont participé si gentiment à Dragées au poivre contribuent beaucoup à la réussite de ce film.

Steve Passeur (L’Aurore)

 

Un film sans autre prétention que celle de divertir agréablement. Il faudrait avoir l’esprit bien chagrin pour le lui reprocher.

Henry Chapier (Combat)

 

La somme de talents railleurs, caustiques, la verve chansonnière que l’on trouve dans Dragées au poivre font que ce film n’a que peu de chances d’emporter un prix dans un festival de cinéma.

Louis Chauvet (Le Figaro)

 

Là réside le miracle de Dragées au poivre : nous y rions sans mauvaises conscience et même avec un sentiment d’alacrité spirituelle et de bonheur rarement goûté au cinéma. Ce film est aussi nouveau aujourd’hui que le fut, en son temps, Drôle de drame. Et comme Drôle de drame, sans doute, il restera sans postérité. De telles réussites ne se recommencent pas.

Claude Mauriac (Le Figaro littéraire)

 

Le cinéma comique français est toujours à la recherche de sa voie, et cela depuis la mort de Max Linder. Ces Dragées au poivre sont une tentative à ne pas dédaigner. Ne boudons pas le plaisir que ce film nous procure.

Samuel Lachize (L’Humanité)

 

Une gigantesque farce montée par une bande de joyeux compères décidés à rire d’un énorme canular.

La Lanterne (Bruxelles)

 

Ce qui compte, c’est le rythme général, la bonne humeur, la douce folie qui pimente chaque séquence, l’aimable désinvolture avec laquelle Jacques Baratier a organisé et mis en scène sa comédie.

Jean de Baroncelli (Le Monde)

 

Un film pour les copains, une suite de pastiches des principaux genres cinématographiques, semés de clins d’œil et d’appels du pied et traitée dans le mouvement de la farce délirante avec, en tête d’affiche, une constellation de noms connus.

Michel Aubriant (Paris Presse)

 

Cabaret littéraire, revue, comédie musicale, music-hall, divertissement léger, opérette, canular pour initiés, Dragées au poivre, film libre entre tous, est tout cela. Avec ses qualités et ses défauts, il mérite d’être vu et suivi avec énormément de sympathie.

Le Soir (Bruxelles)